Irène, Nestor et la Vérité

Lire un
extrait
Catherine Ysmal

Irène, Nestor et la Vérité

Le miracle d’une écriture unique qui parvient si bien à creuser le réel qu’elle en déplace les frontières.

Emmanuel Requette librairie ptyx, Ixelles, 15 mars 2013

Reclus à la campagne, un couple se défait peu à peu. Alors que Nestor s’interroge sans fin sur son sort, Irène se mure dans le silence. Pierrot leur ami est impuissant face au drame qui se noue.
En une langue magistrale et sans artifices, Irène, Nestor et la Vérité dit un amour qui finit mal.

« Je n’ai pas grande pensée sur les choses mais il me semble me souvenir d’une gaieté jadis vécue et de ricochets qui ont bondi longtemps. »

La vraie réussite de ce premier roman de Catherine Ysmal tient dans la densité de son écriture et dans la faculté qu’elle a de passer d’un personnage l’autre en s’attachant à saisir, par petites touches, le caractère bien déterminé de chacun d’entre eux.

Jacques Josse Remue.net 10 avril 2013

La puissance du roman de Catherine Ysmal tient à sa langue et à la capacité qu’elle a de nous emporter beaucoup plus loin que la seule histoire de ce couple.

Frédéric Fiolof La Marche aux pages, 28 mars 2013
Acheter ce livre Lire un extrait Partager

Catherine Ysmal

Catherine Ysmal est née en 1969. Elle vit à Bruxelles.

Lire plus

C’est une langue sans équivalent connu et sans commune mesure […] Un premier roman en forme de commotion. Un choc.

Bénédicte Heim Livres-addict.fr 12 avril 2013

Une superbe découverte pour ce beau premier livre et une vraie curiosité pour la suite.

Anne Vivier Racines.canalblog.com 20 mars 2013

On est tout de suite embarqué dans cette impasse du couple Nestor-Irène que Catherine Ysmal met en scène dans une langue à la fois simple et ouverte qui laisse à chacun la liberté de la nourrir de ses propres images.

Pierre-Vincent Guitard Exigence-litterature, 25 mars 2013

Catherine Ysmal façonne le drame — au sens premier d’action — d’un langage qui accouche dans la douleur d’une incompréhension. Sa langue renverse l’apparent et le banal.

Claire Laloyaux Aquariumvert.wordpress.com 7 avril 2013

Que dire de ce grand premier livre qui n’ait déjà été dit par la critique ? Peut-être simplement — si c’est simple — qu’il nous emporte dans un tourbillon de mots. […] Et souhaiter que Catherine Ysmal continue à convoquer la foudre.

Lionel-Edouard Martin, 8 avril 2013

Catherine Ysmal démontre comment le langage devient le «deus ex machina» de la décomposition d’un couple.