L'homme qui était un arbre

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Stéphane Padovani

L'homme qui était un arbre

Dans son attention, le travail sur la langue qui en fait entendre l’émerveillement, L’homme qui était un arbre propose une plutôt convaincante poétique qui, enfin, ne se prétendrait plus séparée de son environnement. [Le roman] est avant tout une méditation sur le temps. C’est sans doute cela que l’on retiendra de ce court conte : l’incarnation de ses instants, leur force visuelle.

Marc Verlynde La Viduité

Récit d’apprentissage exemplaire et tour de force narratif, dont le dénouement paisible, méditatif, laisse rêver à un nouveau cycle dans une histoire sans fin, L’Homme qui était un arbre joue les funambules entre imaginaire et réalité rugueuse.
Conte picaresque, roman d’aventure et fable émouvante, il nous entraîne à la suite d’un personnage qui n’est pas sans rappeler Pinocchio, mais qui trace sa propre « voix », poétique, en un voyage mêlant à la fois l’intime, le social et la dimension spirituelle. Stéphane Padovani s’y livre à une forme de mélancolie, qui est une méditation sur l’essence de l’être et la beauté d’un monde perdu.

Stéphane Padovani dans un livre qui s’apparente au conte et au roman d’aventure, déroule, simplement et sans jamais s’appesantir, l’étonnante histoire d’un être posé, réfléchi, disponible et conciliant. Si la poésie y est présente, la réalité sociale l’est tout autant.

Jacques Josse Remue.net

L’auteur entremêle les vies, joue de la porosité entre imaginaire et réalité dans une magnifique épopée célébrant l’interdépendance des espèces et l’instinct vital. L’homme qui était un arbre est un texte poignant, habité, sensible, qui célèbre aussi le bois pour la vie qu’il transmet par les livres issus de ses fibres et par les personnages qu’ils font exister à jamais. Qu’y a-t-il en effet de plus immortel que la littérature ?

Nicole Grundlinger Mots pour Mots
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Stéphane Padovani Stéphane Padovani

Stéphane Padovani

Stéphane Padovani est né en 1966 à Courbevoie et a vécu en région parisienne jusqu’en 1999. Il a animé quelque temps un atelier d’écriture en maison d’arrêt. Il...

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Picaresque et poétique, c’est une fable taillée dans le cœur du bois, irriguée de la sève romanesque d’un Pinocchio moderne et intemporel à la fois. Une histoire du matin, dans une langue qui parle à l’âme des enfants que nous sommes tous quand nous cherchons des sourires dans la rotondité de la lune.

Claire Le Marque Page, Quintin

Padovani parvient avec finesse à faire de son récit un miroir de préoccupations écologiques et spirituelles contemporaines […] L’Homme qui était un arbre est ainsi un conte moderne et universel, convoquant un imaginaire aussi ancien qu’intemporel. Avec une écriture simple et poétique, [l’auteur] signe une méditation sur le temps, l’éphémère et la résilience.

Alice Leroy Entrevue.fr

Le bon Pin-Pin de Stéphane Padovani. Pinocchio revisité.

Claire Devarrieux Libération

Petit conte précieux pour personne attachée à la beauté multiple des voix intérieures. Tendre et méditatif !

Margot Bonvallet Passages, Lyon

Une boucle temporelle où l’existence humaine apparaît inutilement vaine, bruyante et brève par rapport à l’immobilisme tranquille du règne végétal. A la fois conte social et philosophique, le récit incruste avec malice des références littéraires, de J.M. Barrie (Nerverland, Peter Pan), Homère… et Proust !

T.R. et N.B. Les Notes bibliographiques