Robert Coover
Mascarade
Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Stéphane Vanderhaeghe
Coover s’amuse, s’inquiète de ne pas avoir le temps de terminer son livre, et, pressé, donne dans la rapidité et la concision. Il retrouve la verve burlesque du Bûcher de Times Square […] Son roman est comme un précipité, un concentré de ses thèmes : l’Amérique, la folie d’un pays en chaos perpétuel, la drôlerie, les accents et les tics de langage. T.C Boyle admirait énormément Coover : on comprend pourquoi.
Christophe Mercier
Le Figaro littéraire