La Persistance du froid

Lire un
extrait
Denis Decourchelle

La Persistance du froid

Cet ambitieux premier roman déploie une langue qui embrasse le monde.

Christophe Kantcheff Politis, avril 2010

Cosmonaute déchu, actrice de télévision, soldat déserteur ou pianiste de jazz : La Persistance du froid escorte ces trajectoires et quelques autres. Et le prophète du coin de la rue tel le majordome d’une Arche de Noé, de sa voix, scande d’allégorie leur passage.

C’est comme une Vie mode d’emploi miniature, avec son propre secret à découvrir.

Olivier Lamm Chronicart

« Si je puis dire le but de la manœuvre…»

Denis Decourchelle sur son roman (vidéo) Mollat.com
Acheter ce livre Lire un extrait Partager
Denis Decourchelle Denis Decourchelle

Denis Decourchelle

Né en 1957, Denis Decourchelle est ethnologue consultant de profession, auteur d’articles à caractère historique et relatifs aux domaines du handicap. Il est aussi musicien amateur. La Persistance du fr...

Lire plus

L’exceptionnel roman de la vie comme un jeu de mikado alliant aléatoire et vrais choix.

Ecrit par un newcomer de 53 ans, la Persistance du froid assimile étrangement l’empressement du premier roman et l’habileté effrontée du roman de vétéran. Très polyphonique, très cortázarien et américanophile (ça commence et ça finit à Chicago), le récit déploie et recroqueville arbitrairement ses longues phrases mélodieuses autour de biographies de figures plurielles, qu’il ne s’époumone heureusement pas trop à relier. C’est comme une Vie mode d’emploi miniature, avec son propre secret à découvrir.

Olivier Lamm Chronicart

Une des caractéristiques et des qualités de cette narration est d’être d’une précision rare, chaque image, chaque sensation, chaque intention faisant l’objet d’un travail narratif et stylistique adéquat, et le plus souvent magnifique.

Marc Villemain L’Anagnoste

De ces livres qui prennent aux tripes et dont on retarde volontairement l’issue.

Rebelde Libfly.com

La Persistance du froid est un récit subtil. Construit de façon circulaire et non linéaire. Parvenu à la fin du livre, le lecteur a en sa possession pratiquement tous les éléments du puzzle. Chacun peut ensuite le reconstituer à sa façon. On songe un instant à la malice du Godard des années 60, 70…

Jacques Josse remue.net

La Persistance du froid, ô titre sublime, m’a absolument ravagée, a appuyé juste là où ça fait mal, et c’est très beau, et ça fait du bien.

Nous sommes semble-t-il moins de deux cents privilégiés à avoir eu le bonheur de lire la Persistance du froid. Ne me demandez pas les raisons d’une telle aberration, elles sont d’ailleurs un peu partout sur ce blog. Je suis fier d’être de ces deux cents mais je suis prêt à partager.

Philippe Annocque Hublots-2

Ce n’est pas le moindre des plaisirs que nous offre La Persistance du froid, ce recueil ouvragé de vies imaginaires comme Marcel Schwob a pu en son temps en imaginer. L’auteur avoue posséder une faible imagination, il nous prouve avec son premier roman que ce qui pourrait passer pour un défaut devient, par la grâce d’un vrai style, une chance réelle.

Un premier roman qui mérite d’être découvert.

Nikola Delescluse Paludes