Un homme — voix amputée du poème — ne sait comment dire les mots les plus simples. Jusqu’à tout tenter, en se soumettant à une femme dont il a voulu qu’elle ait toute autorité, de chair et d’amour, afin de lui délier la langue ; pour peu qu’elle vienne du corps — où elle ne saurait mentir.
Préface de Bernard Noël.
Les pages du Corps de la langue sont frappées au coin d’une nécessité qui rend précieux ce petit livre.
«Le Corps de la langue»… et ma peur de la poésie.